Disjonctage : pourquoi le disjoncteur saute et que faire ?

Par Octave Malterre
DIY & Tutoriels

Ton disjoncteur a encore sauté ? 1) Pas de panique : on t’explique pourquoi. 2) On t’apprend comment le réarmer. 3) On te liste les causes possibles. 4) On te file des astuces pour que ça n’arrive plus.

Ton disjoncteur a encore sauté ? On est là pour te sortir du noir. Dans cet article : 1) On t’explique pourquoi il a sauté. 2) On t’apprend comment le réarmer. 3) On te liste les causes possibles. 4) On te file des astuces pour que ça n’arrive plus. Le tout, avec des blagues. Simples, comme toujours. ("Disjoncteur qui saute : que faire ?")

Disjonctage : c'est quoi ce cirque et pourquoi ça arrive ? 🤯

disjoncteur cartoon grincheux protecteur

Le disjoncteur, ce gardien grincheux de ton installation électrique

Parlons franchement : si on t'avait dit un jour que le vrai boss chez toi, c'est une boîte en plastique avec un levier qui claque comme une portière de vieille Clio, t'aurais sûrement rigolé. Mais ouais, le disjoncteur, c'est LE gardien – le videur ultra-suspicieux du tableau électrique. Il surveille tout ce qui rentre, sort, et fait la gueule dès que ça chauffe trop.

Faut pas croire que c'est juste pour t'embêter quand t'es sous la douche et que tu lances en même temps micro-ondes, grille-pain et plaque à induction (oui, j'ai déjà testé... mauvaise idée !). Son job, c'est d'éviter les chocs électriques et les incendies : il coupe tout dès que ça sent le roussi ou qu'il détecte une embrouille dans les fils. On croirait qu'il a des humeurs mais en réalité, il est juste ultra-sensible à la moindre anomalie. T'as l'impression qu'il saute sans raison ? C'est souvent parce qu'il a flairé un danger avant toi, Sherlock.

"Un disjoncteur, c’est comme un chat lunatique : tu crois qu’il te déteste alors qu’il te sauve la vie tous les jours… à sa façon."

Tu vois le topo : grâce au disjoncteur, ta maison ne finit pas façon barbecue chaque fois que tu veux vivre dangereusement avec trois multiprises sur la même prise murale. Alors râle pas tout de suite quand il saute – au fond, il t’aime (même s’il a une drôle de façon de le montrer).

Les deux coupables principaux : surcharge et court-circuit, le duo infernal

Bon… soyons sérieux deux minutes (mais pas trop !). Si ton disjoncteur pète son câble plus souvent qu’un ado devant le frigo vide, y’a sûrement une histoire de surcharge ou de court-circuit derrière.

La surcharge ? C’est simple : imagine ton appart’, affamé d’électricité comme moi après trois jours sans raclette. Tu branches tout – consoles, four, sèche-cheveux et pourquoi pas une fontaine à chocolat – et là bim ! Le disjoncteur crame une durite parce que t’as dépassé ce qu’il pouvait encaisser. C’est pas de la magie noire, juste un excès d’appétit électrique. L’autre jour chez ma sœur… Elle voulait lancer lave-vaisselle ET fer à repasser sur la même prise (pourquoi ? Mystère familial), résultat : blackout total. La dernière fois que j'ai voulu faire simple...

Le court-circuit ? Là on change de registre : c’est l’accident bête où deux fils se touchent alors qu’ils n’auraient jamais dû se rencontrer (un peu comme mon cousin au mariage du voisin…). Résultat ? Grosse étincelle potentielle et le disjoncteur coupe tout pour éviter que ça parte en fumée – littéralement.

Et le défaut à la terre, ce petit filou qui aime jouer à cache-cache

Attention mon pote ! Y’a aussi le fameux défaut à la terre – celui-là adore se planquer jusqu’au moment où il te met bien dans l’embarras. En gros : si un fil touche accidentellement la terre (une partie métallique reliée au sol), le courant file là où il veut… pile là où il DOIT PAS passer !

Ce genre de souci est sournois car souvent invisible mais hyper dangereux : choc électrique garanti si tu touches l’appareil concerné. Et là tu comprends pourquoi réarmer sans piger ce qui cloche revient à essayer d’éteindre un feu avec une louche d’eau tiède…

Attention : un défaut à la terre, c'est du sérieux ! Ne joue pas avec le feu (ou l'électricité) et appelle un pro si tu as un doute.

Mon disjoncteur a sauté : la panique à bord ou la déduction logique ? 🤔

La dernière fois que j'ai voulu faire simple... et que j'ai tout fait sauter ! Je voulais juste réchauffer une pizza, charger mon téléphone et faire tourner la machine à laver en même temps. Résultat ? Un blackout digne d’une boîte de nuit mal câblée – ambiance garantie, moins le dancefloor !

Bref. Quand ça saute : ne panique pas, range ton cri primal pour plus tard, et sors ta loupe de détective du dimanche. On va faire les choses proprement.

Étape 1 : Ne pas paniquer (et peut-être arrêter de faire bouillir 15 casseroles en même temps)

On respire, on pose la casserole (oui, toi là !), et on arrête tous les appareils qui pourraient jouer les trouble-fêtes : four, micro-ondes, bouilloire XXL…

Astuce d’Octave : Plus tu paniques, plus tu vas tripoter des boutons au hasard – résultat c’est encore pire qu’avant.

Checklist : premières actions pour survivre au disjonctage

  • Respirer profondément (vraiment, ça aide)
  • Identifier les appareils allumés juste avant le blackout
  • Éteindre/ Débrancher les suspects (tu sais déjà lesquels…)
  • Essayer de réarmer le disjoncteur (doucement, sans forcer comme un bûcheron sur-caféiné)

Petite anecdote : Un jour, je me suis retrouvé à accuser ma cafetière alors que c’était… la lampe IKEA montée à l’envers par tonton René. Depuis je vérifie TOUT avant de jeter l’opprobre sur le grille-pain.

Comment savoir quel disjoncteur a pris la poudre d’escampette ?

Imagine ton tableau électrique comme un petit village où chaque disjoncteur fait son taf avec plus ou moins de bonne volonté. Le général ? Le maire grincheux. Les divisionnaires ? Les petits chefs locaux. L’inter différentiel ? Le flic du coin qui surveille les fuites.

Pour repérer le fautif : cherche celui dont le levier est en bas (position « off »). Tu verras vite que certains sont plus doués pour se planquer qu’un chat derrière le canapé.

Mon niveau à bulle est aussi droit que mes idées après trois cafés... et mon tableau électrique l'est encore moins ! Sérieusement, entre les étiquettes effacées et les vieux autocollants douteux collés par l’ancien proprio, localiser LE coupable demande parfois autant de patience que pour trouver la chaussette disparue dans la machine.

Schéma simplifié tableau électrique domestique repérage disjoncteur off

Si c’est le gros général tout à gauche qui saute = c’est tout l’appart qui plonge dans le noir. Si c’est un petit module planqué au milieu = un seul circuit trinque (genre toute la cuisine qui part en vacances).

Le grand jeu du réarmement : comment s’y prendre sans tout faire péter

Là, c’est LE moment où il faut jouer finement – pas question d’y aller au marteau ! Tu remontes doucement le levier du disjoncteur incriminé. Ça tient ? Hourra ! Ça re-saute ? STOP : recommence pas 15 fois comme un(e) forcené(e), sinon t’abîmes tout.

Avant toute manip’, débranche bien tous les appareils suspects du circuit concerné – ne sois pas ce voisin qui rallume tout et finit chez le voisin faute de courant...
Si jamais même comme ça ça ne marche PAS ? C’est soit qu’un appareil est vraiment mort (RIP grille-pain), soit que t’as dépassé ta puissance souscrite (merci EDF…).

Astuce : Si le disjoncteur saute immédiatement après le réarmement, débranche un à un les appareils du circuit concerné pour identifier le coupable.

Les causes d'un disjonctage : quand mon appart veut me parler (ou me crier dessus) 🗣️

Mon pote, prépare-toi, parce que là on rentre dans les dessous (très mal rangés) de ton installation électrique. C’est pas le moment de chercher tes chaussettes propres, mais plutôt de comprendre pourquoi ton disjoncteur fait plus de bruit qu’un chat sur le carrelage à 3h du mat’.

La surcharge : quand tu branches plus d'appareils que la Star Academy n'a de candidats

Tu vois, la surcharge électrique, c’est comme un buffet à volonté pour ton appart'. Tu te dis « allez, je branche le sèche-cheveux en même temps que le four et, tant qu’on y est, la machine à laver parce que j’aime vivre dangereusement ». Résultat ? Le circuit tire la tronche – il a ses limites (en général autour de 16A ou 20A par ligne). Et toi tu dépasses tout ça, façon ado qui vide deux frigos après le foot…

La dernière fois que j'ai voulu faire simple, j'ai branché le sapin de Noël illuminé façon Las Vegas, le grille-pain et mon fer à souder sur la même prise... Disons simplement que le disjoncteur a eu une migraine monumentale. Crois-moi, chaque appareil a sa conso : c'est pas pour t'embêter, mais pour éviter la crise de nerfs au tableau !

Regarde ce tableau histoire de piger ce qui plombe vraiment ton compteur :

Tableau consommation électrique appareils courants

Chaque circuit a son seuil limite. Si tu dépasses, boum ! Disjonction directe. Garde l’œil sur les gros mangeurs d’énergie… et évite le concours du plus gros branchement avec tes voisins.

Le court-circuit : ce bruit qui fait trembler les murs (et pas seulement à cause de la basse)

Là on parle sérieux : le court-circuit, c'est ni plus ni moins qu'une fausse manip' fatale. Genre câble dénudé par mégarde (merci tonton bricolo), vieux grille-pain capricieux ou prise qui aurait clairement besoin d’une retraite anticipée. Deux fils se touchent sans demander la permission ? Ça peut faire une belle étincelle et un « clac » bien flippant – bonus départ de feu si t’es vraiment malchanceux.

Réarmer sans piger pourquoi ça a sauté ? C'est comme recoller une roue crevée sans enlever le clou : on appelle ça jouer avec le feu ! Pour éviter d’y laisser tes sourcils (et plus encore), renseigne-toi sur la sécurité électrique à la maison.

Le défaut à la terre : quand l'électricité décide de faire un tour par... le sol

Celui-là est sournois comme un moustique dans une chambre noire. Défaut à la terre, ça veut dire qu’un fil sous tension fait copain-copain avec une partie métallique ou carrément avec le sol. Résultat : l’électricité part où elle veut — et toi tu risques gros si tu mets la main là où il faut pas.
Le disjoncteur différentiel veille au grain mais faut pas croire qu’il va régler tous les soucis magiquement. Souvent lié aux vieilles machines ou aux isolations douteuses du siècle dernier...

Un jour, j’ai voulu réparer un vieux radiateur trouvé sur LeBonCoin — "bricolage facile", disait l’annonce... Sauf que dès que je l’ai branché – paf ! Disjoncteur général hors service, odeur bizarre et bonjour les frissons dans les doigts…
Moralité : méfie-toi des appareils dont l’historique ressemble à celui des voitures importées douteuses.

Un défaut à la terre peut transformer n’importe quel appareil lambda en piège mortel. Si tu ne piges pas d’où ça vient : ON DÉBRANCHE ET ON APPELLE UN PRO.

L'importance de la puissance souscrite : es-tu sûr d'avoir signé pour assez de puissance ?

Alors là… "puissance souscrite", c’est ni plus ni moins que la taille du réservoir électrique dont tu disposes chez toi. Trop petit ? Ton appart fait grève dès qu’il doit fournir plus d’effort qu’un dimanche matin.
Tu peux retrouver cette info sur ta facture ENGIE (ou autre fournisseur). Généralement :
- 3 kVA = minuscule studio sans machine bizarre,
- 6 kVA = appart’/petite maison standard,
- 9 kVA = maison familiale/installation tout électrique.
Si tu as autant d’appareils énergivores qu’un gamer en LAN party… faut peut-être revoir ta copie (ou changer ta puissance souscrite).
Pour calculer ce dont TU as besoin : direction le guide puissance électrique.

Comparatif vite-fait pour situer où t’en es niveau réservoir :

Tableau puissances souscrites courantes usages logement

Disjoncteur général, différentiel, modulaire : la jungle du tableau électrique 🌳

tableau électrique caricaturé chef disjoncteur général modulaire vigile

Le disjoncteur général : le boss de fin de niveau

Tu crois gérer chez toi ? Laisse-moi rire. Dans chaque tableau électrique planqué derrière une porte qui grince, y’a un disjoncteur général, le vrai chef d’orchestre. C’est lui qui reçoit le courant de ta rue – le point d’entrée des grandes manœuvres. Tu dépasses la puissance souscrite ? Tchao tout le monde, il coupe tout d’un coup sec, histoire que ton appart ne parte pas en mode Stade de France lors d'un bug géant !

Il est souvent en tête de rangée (le mec veut voir tout ce qui se passe), prêt à faire tomber le rideau au moindre souci majeur ou si tu joues les gourmands. En gros : c’est lui qui décide si ta soirée continue ou si tu cherches des bougies.

Points clés du disjoncteur général : 1. Coupe tout, sans demander la permission. 2. Protège l’ensemble de ton installation des grosses catas. 3. Directement lié à ta puissance souscrite – trop faible ? Il te rappellera vite à l’ordre.

Les disjoncteurs divisionnaires (ou modulaires) : les petits chefs de chaque circuit

Après le boss, place aux petits chefs : les disjoncteurs divisionnaires (modulaires pour les snobs). Chacun son territoire : un pour la lumière, un pour la salle de bain, un autre pour cette cuisine où tu fais cramer tes pâtes… Leur job : protéger LEUR circuit contre les surcharges et courts-circuits locaux – pas question que ton grille-pain fasse sauter tout l’immeuble !

J’ai déjà bricolé des tableaux à Nanterre et Courbevoie où ces modules se battaient pour être bien alignés (spoiler : jamais droit, comme mon niveau à bulle après trois cafés...). Ces petits gars ont tous un calibre (genre 10A/16A/20A), adapté à la grosseur du fil qu’ils surveillent.

Circuits typiques protégés par des divisionnaires :
- Éclairage
- Prises (salon, chambre…)
- Four
- Plaque induction ou lave-linge
- Chauffe-eau
- Et tout ce que t’arrives à brancher !

L’interrupteur différentiel : le vigile qui surveille les fuites

On passe au vrai paranoïaque du lot : l’interrupteur différentiel ! Lui, il s’en fiche des surcharges ou courts-circuits (c’est pas son business). Son créneau ? Les fuites vers la terre – tu touches un appareil mal isolé, hop il coupe avant que t’aies le temps de dire “zappé”. Avec une sensibilité souvent calée à 30mA (contre 16A ou 20A pour les divisionnaires), il réagit dès que le courant tente une évasion sournoise vers la terre.

Attention : il ne protège QUE contre les défauts d’isolement dangereux pour les humains. Pour qu’il serve à quelque chose, faut absolument qu’il bosse avec ses copains divisionnaires dans le même tableau.

Pour piger toutes ces protections bizarres et éviter l’accident improbable qui arrive quand t’as mal dormi : file voir notre article sur les protections électriques du tableau.

Quand le disjoncteur refuse de coopérer : les cas têtus 😠

disjoncteur domestique caricature grognon bras croisés devant tableau électrique

Il saute tout le temps, même à vide : là, ça commence à sentir le roussi

Alors accroche-toi... T'as déjà vu un disjoncteur qui saute même quand t'as rien de branché ? Ouais, c'est comme si ton appart voulait te rappeler qu'il sait faire la grève. Là, mon niveau à bulle est aussi droit que mes idées après trois cafés... et quand un disjoncteur saute à vide, mes idées deviennent carrément tordues !

Dans ce scénario absurde mais bien réel, oublie la surconsommation bidon : c'est souvent un signe d'un problème d'isolement dans un câble, ou d’un appareil planqué dans les murs qui reste "branché" sans rien demander à personne. Parfois, c’est carrément le disjoncteur lui-même qui rend l’âme, usé par des années de service comme ton vieux grille-pain. J’ai passé trois jours à chercher un court-circuit fantôme chez une voisine – au final, c’était un câble pourri dans la cloison (et moi qui accusais son sèche-cheveux depuis le début…)

"Si ton tableau saute quand tu respires trop fort, c'est qu'il a besoin d'un bon check-up... pas d'une tape sur l'épaule !"

Il ne veut pas se réarmer : le déni de réalité de ton tableau électrique

Là on passe en mode frustration XXL : tu essaies de remonter le levier et paf ! Ça retombe direct ou ça bloque en bas. Pas la peine d’insister comme un bourrin — si ça saute tout de suite ou que ça ne veut plus rien savoir, y’a une vraie protection derrière.

Pourquoi ça bloque ?
- Court-circuit actif bien caché (bravo !)
- Défaut à la terre persistant (genre fuite sournoise dans les fils)
- Disjoncteur carrément défectueux (eh oui, eux aussi finissent par lâcher)
- Circuit protégé HS ou câblage mal fichu (merci l’ancien proprio...)

Insister pour forcer le réarmement ? C’est comme remettre ta chaussette trouée sans regarder : tu vas au-devant de gros soucis. Un tableau électrique en déni, ça finit rarement bien.

Faut-il appeler un pro ? Les signes qui ne trompent pas

Soyons clairs : y'a des moments où bricoler rime avec danger pur. Vouloir réparer à l’aveugle revient à jouer aux fléchettes dans le noir… sauf que là, c’est toi la cible. La croyance n°3 s’applique : réarmer sans comprendre = catastrophe annoncée.

Checklist : appelle un professionnel si…
- Disjonctages fréquents et inexpliqués (même sans micro-ondes ninja).
- Odeur suspecte de plastique brûlé ou de chaud autour du tableau.
- Étincelles visibles (là c’est showtime… sauf que non !).
- Le disjoncteur ne veut vraiment plus tenir en 'marche' malgré toutes tes tentatives.
- Tu doutes sérieusement sur la gravité (spoiler : si tu te poses la question, il FAUT demander conseil).

Ne joue pas au super-héros : sécurité avant tout ! Mets-toi à l’abri et contacte direct un électricien certifié dès que ça sent l’embrouille.

Pour être sûr de ne pas frôler la correctionnelle côté sécurité et conformité électrique, file lire les normes électriques domestiques — histoire de dormir tranquille.

L'essentiel à retenir pour éviter les crises de nerfs (et de disjoncteurs) ✅

Allez, on emballe tout : ton disjoncteur n’a pas été conçu pour te casser les pieds mais bien pour t’empêcher de finir en grillade ! S’il saute, c’est 9 fois sur 10 à cause d’une surcharge (trop d’appareils branchés), d’un bon vieux court-circuit (fils qui se tripotent où il faut pas), ou d’un défaut à la terre (l’électricité qui veut jouer à cache-cache et finit par te piquer).

Quand ça pète : garde ton sang-froid, débranche les coupables potentiels et fais preuve de logique avant de réarmer. Ne bourrine pas comme un bûcheron insomniaque ! N’oublie pas : ta puissance souscrite, c’est la jauge à surveiller si tu veux éviter le mode blackout régulier.

  • Points essentiels à retenir :
    • Le disjoncteur protège (il râle, mais il protège !)
    • Les causes courantes : surcharge, court-circuit, défaut terre
    • Réagir calmement et logiquement (pas façon panique du dimanche soir)
    • La puissance souscrite est importante (regarde ta facture, sérieux !)
    • Appelle un pro si tu sens que ça part en vrille

Soyons sérieux deux minutes... mais pas trop, l’électricité c’est comme une bonne bière : ça se respecte ! Apprends à causer avec ton tableau électrique, mate-le dans les yeux de temps en temps (sans trembler), et franchement, t’éviteras la majorité des galères. Reste curieux – mais reste vivant surtout !

Bricolé à la main avec 💪